Minute, papillon!
Si tu voulais savoir, fallait venir!!
Chaud chaud le tournoi (les 4 premiers ont le même score!)
On notera une excellente performance de Pouyou, Duda et Karandras, avec d'excellents jeux Hiver qui ont bien su tenir tête à nos "gros jeux" classic.
1) Ilmakis (Baratheon) - 9.33
2) Pouyou (Martell) - 9.30
3) Le Silure (Baratheon / Knights of the realm) - 9.27
4) Mildaene (Baratheon) - 9.21
5) Duda (Greyjoy) - 6.27
6) The Imp (Stark/Night Watch) - 6.21
7) Lynx (Lannister) - 6.18
Karandras (Stark / Traité Targaryen) - 3.24
9) Golo (Targaryen) - 3.21
Mon jeu:
Baratheon camping. Pour ceux qui ne connaissent pas, cela consiste à poser très vite 3 lieux ("recruiting tent" - tente de recrutement), qui permettent de révéler la 1e carte de mon deck, et de la mettre directement en jeu si c'est un personnage Baratheon. Le reste du jeu n'est que grosses armées, gros personnages à renom (Gros Robert, stannis AROK, Renly I&F,... ) , et un peu de support (swayed by the light, Storm's end battlements).
Lorsque les tentes sont en place, un petit Valar pour nettoyer, et la victoire est en général au bout, vu qu'en moyenne, je sors 2 armées gratuites par tour, en plus de ce que je pose.
Partie 1: Ilmakis
Les cartes n'étaient pas avec moi. Toute la partie, je ne fais que piocher 2 armées, et défausser 2 cartes non personnages avec les tentes. 2 armées, 2 cartes, 2 armées, 2 cartes... bref. Pas très intéressant.
La deuxième partie verra ma victoire, mais c'est pas celle qui compte.
Partie 2: Duda
Théon le casse pied avec son gros bateau et ses petits amis qui relèvent les bateaux... joie et bonheur.
Je m'installe gentiment, et mes personnages contiennent à grand peine Théon boosté aux hormones. Un valar règlera finalement le problème.
Mais Théon la peste revient immédiatement ("L'heure est venue"), et reprend du service de plus belle.
Les armées et le renom finissent par déborder mon adversaire, et je l'achève avec 2 défis en pouvoir à pleine puissance, grâce aux Storm's End Battlements et Edric Storm.
Partie 3: Golo
Mes tentes commencent à générer des persos avec renom. Je pose Robert avec Protector of the Realm pour éviter qu'on me casse mes chères tentes (je sais que Golo a été chercher un Pillard en maraude). Robert dure environ 2 secondes, mort par plaie purulente (le sanglier, sûrement).
Qu'à cela ne tienne, mes armées prennent le dessus, et je conclus avant de devoir jouer mon Valar.
Partie 4: Karandras
Le rouleau compresseur se met en place en face (Mages aux lèvres bleues, et autres trucs-qui-reviennent-sans-cesse, un peu de furtivité, et plein d'attachements), tandis que je rame pour installer mon camping, en me prenant joyeusement une prise de 2 à chaque tour.
Heureusement, il finit par épuiser ses complots à grosse prise, et se rabat sur des 1. Mon Valar fera un peu de ménage pendant un tour, le temps pour lui de renvoyer toutes ses cartes en main, et de me les resservir bien réchauffées au tour suivant. A ce moment là, je n'ai pas un pouvoir, Karandras en a une dizaine (heureusement qu'il doit aller à 20!).
Au tournant de la partie, mes persos commencent enfin à sortir, et je vais chercher Samwell Tarly, qui me permet de bien réorganiser le dessus de ma pioche.
Avec les armées en support, Gros Robert et Renly s'en donnent à coeur joie, et me rapportent les 8 points qui me manquaient.
Ouf! C'était chaud!
Les aventures du deck Varys:
1) Ilmakis
Ilmakis se fait promptememnt botter l'arrière train, et repartira sans demander son reste.
2) Pouyou
Un bon départ de Pouyou, mais les oisillons, les gardes personnels et les prises de contrôle auront raison de lui.
3) The Imp
Maester Aemon et Janos Slynt dégagent rapidos (heureusement, c'est les 2 persos qui ne sont pas "no attachment"), mais la garde de nuit n'a pas dit son dernier mot. Avec tous les complots qui tuent ou défaussent, impossible de progresser, et le status-quo semble imminent, sauf que la pile de cartes de Varys s'épuise.
Au final, il ne reste d'ailleurs plus que Varys en jeu, et aucune carte à piocher. Aie aie aie! Est-ce la fin?
Eh bien non! qu'il soit dit que Varys à lui tout seul, peut tenir tête à la Garde de Nuit (ok, sans intrigue en face, et en tuant un perso à chaque défi gagné, c'est plus facile).
La partie s'achève, péniblement, avec The Imp qui à chaque tour tire 2 cartes, pose un perso, et se le fait tuer par Varys qui gagne un défi d'intrigue sans opposition. Varys atteind 15, alors qu'il ne reste que 2 cartes dans la pioche de The Imp.
Bravo en tout cas, c'est la première fois que je vois ce deck en difficulté (me suis pas rappelé que marched to the wall, c'était Discard (cannot be saved), ce qui a bien failli me coûter la partie).
-Mildaene.